Il giovane giornalista Tintin è stato un gran giramondo, ai suoi tempi. Fra le tante tappe dei suoi viaggi, non poteva certo mancare l’India, con la sua millenaria storia. In occasione di Europalia.India il Museo Hergé ha predisposto una bella mostra che porta a scoprire il subcontinente indiano attraverso gli occhi dell’eroe dei fumetti (che ha visitato la terra dei discendenti di Bhārata – भारत – in più di una occasione). Vi proponiamo i sette temi (di estremo interesse da svariati punti vista) che vengono presentati in mostra: • La carte d’Orient du Petit Vingtième Découverte de l’Empire des Indes dans un bain de foule tout en couleurs, tout en émotion. • Le Palais du Maharadja de Rawhajpoutalah ou l’Inde sous la plume d’Hergé Présentation de planches originales de la première version en noir et blanc des Cigares du Pharaon entre 1932 et 1934, en parallèle avec la version revisitée des planches en couleurs de 1954 et la documentation d’Hergé. • Tintin aux Indes ou Le Mystère du diamant bleu Evocation de cette pièce de théâtre écrite en collaboration avec Jacques Van Melkebeke et présentée au Théâtre des Galeries à Bruxelles en 1941. Une vraie curiosité hergéenne ! • Spiritualité Pacte entre les dieux, l’homme et son environnement, coexistence pacifique entre l’homme, l’animal et la nature, célébration de tout être vivant. • Sadhus ou fakirs? Dans l’imaginaire occidental, ils sont communément associés aux planches à clous, à la lévitation et, parfois, aux charmeurs de serpents… • Dans les rues de New Delhi Tintin de l’hindi au tamoul en passant par le bengali ou encore le gujarati, Tintin, héros de Satyajit Ray… Révélation du succès de Tintin en Inde. • Du signe de Kih-Oskh au Svastika porte-bonheur Omniprésent en Inde, le Svastika symbolise, parmi d’autres sens, le très populaire dieu Ganesh et est le symbole premier du jaïnisme, considéré par ses adeptes comme le plus favorable de tous les symboles. Il peut se traduire comme « ce qui apporte la bonne fortune, ce qui porte chance » et est un signe de bon augure.
e un video anche su RTBF: click qui.