Baru nous a habitués depuis longtemps à puiser dans ses souvenirs de jeunesse. De « Quéquette blues » à « Villerupt 1966 », en passant par « La Piscine de Micheville » ou « Les Années Spoutnik », rares sont les albums sans souvenirs personnels nourrissant des récits plus ou moins inventés. La trilogie qu’il a entamée en 2020 avec « Bella Ciao » ne déroge pas à la règle : ce que confirme le tome 2 qui vient de paraître…
Leggi il resto su Read More BDzoom.com