Les albums de bandes dessinées sur Rome comme leurs cousins cinématographiques , les péplums, sans scène d’orgie sont rares. Pour le spectateur/lecteur, avec les jeux du cirque, l’orgie marque l’époque. Mais elle la définit en creux sans vraiment savoir pourquoi de telles scènes font partie de notre « imaginaire romain ». Peintres, graveurs, affichistes, illustrateurs ont depuis quatre siècles, au moins, produit une iconographie orgiaque riche et variée qui reflète à la fois la vision qu’ils ont du monde romain et un flirt transgressif avec la morale qui varie suivant les moments.
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